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PROPHYLAXIE : Le dépistage avant la prise en charge par la sécu ?

Suite de la mise en garde sur les risques liés aux produits chimiques.

Selon la revue médicale indépendante The Lancet, la prise en charge de la chute des cheveux par la Sécurité sociale devrait être plus systématique pour les personnes prenant des médicaments dont les effets secondaires sont potentiellement dangereux pour les cheveux.

Ainsi, la Haute Autorité de Santé (HAS) estime que les médicaments prescrits aux personnes souffrant de chute de cheveux ne doivent pas être pris si la cause de la chute n’est pas déterminée. Elle préconise une surveillance par des examens biologiques réguliers et non une prise en charge systématique.

Le problème, c’est que ces médicaments sont souvent prescrits pour les hommes qui prennent la pilule contraceptive.

Une première étude avait d’ailleurs conclu que cette pilule pouvait avoir des effets indésirables pour les cheveux.

En 2018, la revue indépendante The Lancet avait publié une nouvelle étude affirmant que les médicaments prescrits aux personnes souffrant de chute de cheveux ne devraient pas être pris en cas de maladie chronique.

Ainsi, la prise en charge de la chute des cheveux par la Sécurité sociale devrait être plus systématique pour les personnes prenant des médicaments dont les effets secondaires sont potentiellement dangereux pour les cheveux.

En effet, plusieurs études ont montré que les personnes qui prennent des médicaments anti-chute de cheveux risquaient d’avoir des problèmes pour la fertilité.

Pour cette raison, ils ont été exclus des études sur la chute de cheveux.

En plus de la prise de médicaments anti-chute de cheveux, les personnes ayant des problèmes de fertilité doivent être soumises à un contrôle de leur statut VIH, du taux d’hormones thyroïdiennes et de la tension artérielle.

PROPHYLAXIE : LES GROSSESSE POUR CERTAINS

Dans une nouvelle étude, le British Medical Journal (BMJ) a conclu que les femmes enceintes devraient bénéficier d’un dépistage systématique de la toxoplasmose. Ce sont les personnes qui prennent des médicaments contre la toxoplasmose qui risquent de ne pas être protégées en cas de grossesse.

La toxoplasmose est une maladie causée par une bactérie qui se transmet d’une personne à une autre par un simple contact avec de la nourriture ou de l’eau contaminée. Elle est généralement présente dans l’environnement et dans la viande.

Si une femme enceinte est infectée par le parasite, elle peut transmettre le virus à son bébé pendant l’accouchement.

Mais il est important de rappeler que le risque est faible chez la plupart des femmes enceintes et que les risques pour le fœtus sont faibles.

Dans l’étude publiée dans le BMJ, 536 femmes enceintes ont été dépistées pour la toxoplasmose et 276 ne l’étaient pas.

Si les femmes enceintes étaient infectées par le parasite, elles devaient suivre un traitement antibiotique pendant 12 semaines. Mais dans 43% des cas, il n’y avait pas de dépistage de la toxoplasmose. 27% des femmes enceintes qui n’avaient pas été dépistées ont eu des résultats positifs à la toxoplasmose.

Cela signifie qu’elles étaient porteuses du parasite et qu’elles étaient susceptibles de transmettre le virus à leur bébé pendant l’accouchement.

La plupart des femmes enceintes ont reçu des résultats positifs pour la toxoplasmose.

Mais si elles n’avaient pas été dépistées, il est possible qu’elles n’aient pas été infectées et ne sachent pas qu’elles le sont.

Les chercheurs ont également constaté que 50% des femmes qui avaient des résultats positifs pour la toxoplasmose ne prenaient pas de traitement antibiotique pendant la grossesse. Et 10% des femmes enceintes ne prenaient pas de traitement antibiotique et avaient été dépistées pour la toxoplasmose.

Les résultats de l’étude montrent que la plupart des femmes enceintes qui avaient des résultats positifs pour la toxoplasmose n’avaient pas reçu de traitement antibiotique. Cette étude montre que les femmes enceintes qui prennent des médicaments contre la toxoplasmose sont susceptibles d’être porteuses du virus pendant la grossesse et de transmettre le virus à leur enfant pendant l’accouchement. Les résultats suggèrent que la plupart des femmes enceintes ne savent pas qu’elles sont infectées et ne prennent pas le traitement antibiotique nécessaire pour prévenir la transmission du virus de la mère à l’enfant.

PROPHYLAXIE : UNE NOUVELLE BASE DE DONNÉES POUR DÉTERMINER LE TRAITEMENT

Des chercheurs ont mis au point une nouvelle base de données qui devrait permettre aux professionnels de la santé de déterminer le traitement approprié pour les personnes souffrant de certaines maladies chroniques.

La base de données devrait être disponible en 2023. Elle permettra aux médecins de déterminer si le médicament doit être prescrit, de suivre les patients et de gérer les effets secondaires.

La base de données est actuellement en phase d’essai clinique. Elle devrait être disponible en 2023.

Les chercheurs ont testé la nouvelle base de données avec 142 personnes atteintes de sclérose en plaques, de diabète, de maladie cardiaque, d’asthme, de cancer, de troubles mentaux et de dépression. Il en ressort que le traitement sera déterminé par la maladie et que les médicaments prescrits doivent être pris régulièrement et pendant une période déterminée en fonction de la maladie

Les chercheurs ont également testé la nouvelle base de données avec 433 personnes atteintes de cancer, de troubles mentaux et de troubles cardiaques. Ils en ont conclu que le traitement serait déterminé par la maladie et que les médicaments prescrits doivent être pris régulièrement et pendant une période déterminée. Les chercheurs ont testé la nouvelle base de données avec 433 personnes atteintes de cancer, de troubles mentaux et de troubles cardiaques. Il en ressort que le traitement sera déterminé par la maladie et que les médicaments prescrits doivent être pris régulièrement et pendant une période déterminée.

PROPHYLAXIE : LES ANTI-VIRAUX DEVANT ÊTRE PRIS SUR UNE BASE PERSONNALISÉE

Les antiviraux doivent être pris sur une base personnalisée, selon des experts de l’Université de l’Illinois, qui ont publié une étude dans le Journal of Clinical Gynecology and Obstetrics.

Cette étude révèle que les patients devraient être placés dans un groupe de traitement en fonction de leur réponse au traitement antiviral. Les résultats suggèrent que les personnes ayant une réponse immunitaire réduite à un antiviral devraient être placées dans un groupe de traitement avec des antiviraux différents.

En outre, le traitement devrait être adapté à la gravité de la maladie, en fonction de la durée de la maladie. Ainsi, les personnes présentant une maladie légère devraient être traitées avec des médicaments plus puissants et les personnes présentant une maladie plus grave devraient être traitées avec des médicaments moins puissants.

La plupart des médicaments antiviraux doivent être pris une fois par jour pendant 1 à 2 semaines. Si la personne n’a pas eu de réponse à un antiviral pendant 30 jours ou plus, elle doit être réévaluée.

Le traitement doit être adapté au patient. Les antiviraux devraient être pris selon un schéma posologique différent, en fonction de la gravité de la maladie et du risque de progression de la maladie pour le patient.

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